
Prise de notes sur l’histoire du Nouveau Monde à partir du podcast de l’interview de François Reynaert à propos de La Grande histoire des nouveaux mondes (Fayard, 2020) :
Culture – Philippe Vandel avec François Reynaert (europe1.fr)
Cours de français, philosophie, HLP, histoire des arts
Elodie Pinel : Lycée Saint Thomas de Villeneuve (St Germain en Laye) – Editions Le Robert – LesBonsProfs.com – Lumni (France tv)
Prise de notes sur l’histoire du Nouveau Monde à partir du podcast de l’interview de François Reynaert à propos de La Grande histoire des nouveaux mondes (Fayard, 2020) :
Culture – Philippe Vandel avec François Reynaert (europe1.fr)
Au théâtre privé, on privilégie le comique avec du comique de geste (mimiques) et de situation (l’amant dans le placard), mais aussi avec du comique de mot (référence à Christian Lacroix). Le décor est réaliste, la diction est naturelle et les costumes sont réalistes.
Au théâtre public (la Comédie Française), le sérieux l’emporte sur le comique dans la parodie qui en est faite ; la diction est théâtrale voire tragique, les costumes et le décor sont stylisés et abstraits et on préfère le noir et blanc aux couleurs. La pièce originale perd ses effets comiques pour donner lieu à une expérimentation théâtrale.
Synthèse des pages 154-155 du manuel
Ce tableau de Hans Holbein le jeune représente deux notables. La position de leur corps et leur regard expriment l’aisance et la sérénité. Ce tableau montre un monde raffiné et ouvert à la culture. Un objet placé au centre du tableau attire notre regard : il s’agit d’un disque plat et réfléchissant. Il s’agit d’une anamorphose puisque c’est un crâne humain qui est ainsi montré, pour faire réfléchir à la vanité humaine par allégorie. Cet objet rompt l’organisation du tableau par son aspect, sa taille et sa position improbable. Tous les objets sur l’étagère représentent la science de l’époque, soit la géométrie, l’arithmétique, l’astronomie et la musique. Grâce à eux, de grands progrès ont été réalisés ; on les appelle à l’époque les arts libéraux. Enfin, ce tableau fonctionne comme une nature morte pour certains de ses détails ; tous les éléments rappellent à l’homme sa fragilité. Cette toile interroge donc l’orgueil des Européens qui se croient le centre du monde, par ethnocentrisme.
Comment la découverte de l’autre peut-elle être vécue comme positive ou négative ?
Entraînement à la dissertation à partir du sujet suivant :
L’imitation peut-elle être créatrice ?
Si c’est une question fermée = réponse par oui/non => plan dialectique : 1) thèse 2) antithèse 3) synthèse (astuce = changer la définition d’un méthodo)
Si c’est une question ouverte = plusieurs réponses possibles
2. Analyse du sujet
Trouver les mots importants du sujet : imitation, création
Définir ces mots :
Imitation : Reproduction fidèle d’une chose/d’un être existant (exemple : art au sens du dessin, qui est souvent figuratif, par opposition à l’art abstrait => Monet, quais de Seine et portraits de Picasso)
– Mimèsis chez Aristote dans la Poétique : il se demande si l’art (ici le théâtre) imite la vie ; selon lui, le théâtre imite la vérité, c’est-à-dire ce que les choses devraient être
Création : 1) le travail de l’artiste 2) le résultat de ce travail 3) le fait de produire, de fabriquer quelque chose de nouveau
Programme de révisions Terminales générales
Thèmes | Notions | Calendrier de révisions |
L’existence humaine et la culture La morale et la politique La connaissance | La conscience L’inconscient Le temps L’art Le bonheur La liberté Le devoir L’État La justice Le travail Le langage La nature La raison La religion La science La technique La vérité | Septembre-novembre Septembre-novembre Décembre Semaine du 11 janvier Semaine du 18 janvier Semaine du 25 janvier Semaine du 1er février Semaine du 8 février Semaine du 1er mars Semaine du 8 mars Semaine du 15 mars Semaine du 22 mars Semaine du 29 mars Semaine du 5 avril Semaine du 12 avril Semaine du 3 mai Semaine du 10 mai |
Programme de révisions Terminales technologiques
Notions | Calendrier de révisions |
L’art La liberté La justice La nature La religion La technique La vérité | Semaine du 11 janvier et semaine du 18 janvier Semaine du 25 janvier et semaine du 1er février Semaine du 8 février et semaine du 1er mars Semaine du 8 mars et semaine du 15 mars Semaine du 22 mars et semaine du 29 mars Semaine du 5 avril et semaine du 12 avril Semaine du 3 mai et semaine du 10 mai |
https://www.sohrabchitan.com/findejournee
La compagnie Sohrâb Chitan nous fait l’honneur et le plaisir de nous faire danser le 12 janvier.
La séduction sans la parole…. Mais est-ce vraiment de la séduction ? Performance de Marina Abramovic au MoMa (New York)
Ci-dessous un podcast de l’interview d’Eric Fottorino au sujet de son dernier roman, Marina A. (Gallimard, 2021), consacré à Marina Abramovic :
Le diable dans la série sur le bien et le mal The Good Place
Les expressions françaises avec diable : Va au diable, que diable, le diable au corps, le diable est dans les détails, l’erreur est humaine, persévérer est diabolique…
Regardez le début de la scène d’ouverture (jusqu’à 11:00) et analysez la mise en scène de Nicolas Briançon (lumière, décor, costumes, casting, jeu des acteurs, effets sonores, déplacements, gestuelle, diction).
1er texte étudié : Texte de Saint Augustin sur le temps, tiré des Confessions, livre XI
2e texte étudié : Texte extrait de L’évolution créatrice de Henri Bergson sur le temps et la durée
C’est justement cette continuité indivisible de changement qui constitue la durée vraie. Je ne puis entrer ici dans l’examen approfondi d’une question que j’ai traitée ailleurs. Je me bornerai donc à dire, pour répondre à ceux qui voient dans cette durée “réelle” je ne sais quoi d’ineffable et de mystérieux, qu’elle est la chose la plus claire du monde : la durée réelle est ce que l’on a toujours appelé le temps, mais le temps perçu comme indivisible. Que le temps implique la succession, je n’en disconviens pas. Mais que la succession se présente d’abord à notre conscience comme la distinction d’un “avant” et d’un “après” juxtaposés, c’est ce que je ne saurais accorder. Quand nous écoutons une mélodie, nous avons la plus pure impression de succession que nous puissions avoir – une impression aussi éloignée que possible de celle de la simultanéité – et pourtant c’est la continuité même de la mélodie et l’impossibilité de la décomposer qui font sur nous cette impression.
Si nous la découpons en notes distinctes, en autant d'”avant”, et d'”après” qu’il nous plaît, c’est que nous y mêlons des images spatiales et que nous imprégnons la succession de simultanéité : dans l’espace, et dans l’espace seulement, il y a distinction nette de parties extérieures les unes aux autres. Je reconnais d’ailleurs que c’est dans le temps spatialisé que nous nous plaçons d’ordinaire. Nous n’avons aucun intérêt à écouter le bourdonnement ininterrompu de la vie profonde. Et pourtant la durée réelle est là. C’est grâce à elle que prennent place dans un seul et même temps les changements plus ou moins longs auxquels nous assistons en nous et dans le monde extérieur. Ainsi, qu’il s’agisse du dedans ou du dehors de nous ou des choses, la réalité est la mobilité même. C’est ce que j’exprimais en disant qu’il y a du changement, mais qu’il n’y a pas de choses qui changent.
BERGSON
La perception du changement, P.U.F. éd., p. 166
Et voici l’enregistrement des 2 heures de cours sur le temps :